REGLES D'ANNULATION - 2025

 

 

Pour quelles activités ?

 

 

Sauf cas de force majeure, le pourcentage du reste à charge est conditionné au délai d’annulation avant le départ.
Il est de :

- 30 % du séjour ou location pour toute annulation
- 50 % du séjour ou location pour une annulation entre 45 jours et 30 jours avant le départ
- La totalité du séjour ou location pour une annulation entre 29 jours et le jour du départ

Dans tous les cas, les justificatifs officiels correspondant doivent être fournis (exemple : certificat médical, assurances, employeur...).


Sont considérés comme cas de force majeure :

 

 


  Santé : 

  • la maladie, l’accident corporel grave, le décès :
    - du salarié.e,
    - de son conjoint.e,
    - d’un ascendant ou d’un descendant direct du salarié.e, ou de son conjoint.e,
    - d’un frère, sœur, beau-frère, belle-sœur, gendre et belle-fille, du salarié.e ou de son conjoint.e, et les personnes inscrites dans la location ou le séjour ; pour ces dernières, les maladies ou les accidents graves sont pris en considération dans la mesure où la présence du salarié.e s’avère nécessaire pour des raisons familiales ou économiques,

  • la dépression nerveuse du salarié.e, avec hospitalisation dans un établissement,

  • la contre-indication d’une vaccination obligatoire pour le voyage du salarié.e ou de son conjoint.e,

  • toute complication due à l’état de grossesse de la salariée ou de la conjointe, non connu au moment de l’inscription et rendant le voyage ou le séjour médicalement dangereux.


 Maison : 

  • le sinistre grave (incendie, cambriolage, inondation) dans les locaux privés ou professionnels du salarié.e ou conjoint.e, nécessitant impérativement sa présence pendant la période prévue du séjour ou du voyage.


 Travail : 

  • le licenciement économique ou pour inaptitude du salarié.e ou de son conjoint.e, sauf si le salarié.e avait connaissance de celui-ci au moment de l’inscription, ou si l’inscription a eu lieu après celui-ci.

  • la reprise d’une activité professionnelle après une période de chômage du conjoint.e.